Le deuxième atelier régional de formation des Points Focaux Nationaux de l’OIE pour les animaux sauvages a été organisé à Gaborone, au Botswana, du 28 novembre au 1er Décembre 2011, dans les locaux du Centre Régional de la Santé Animale.
L’atelier a été ouvert par le Dr Kgoseitsile Phillemon-Motsu, Directeur des Services Vétérinaires du Botswana et Délégué OIE. Dans le domaine de l’appui que propose l’OIE aux pays Membres en matière de faune sauvage, un premier atelier de formation avait eu lieu à Arusha, en Tanzanie, du 16 au 19 mars 2010.
Garde-chasse du Mokolodi Nature Reserve. Crédit photo © A. Maillard (oie) 2011
Ce deuxième atelier a été organisé conjointement avec l’OIE et le centre canadien coopératif de la santé de la faune, l’un des trois centres collaborateurs de l’OIE pour les animaux sauvages. Les participants africains d’expression française ont assisté à cet atelier et venaient du Burkina Faso, Bénin, du Burundi, du Cameroun, des Comores, du Congo, de la Guinée Equatoriale, du Maroc, du Niger, du Sénégal, des Seychelles, de Sao Tome et Principe, de la République Démocratique du Congo, de la République centrafricaine, du Tchad et du Togo. La formation visait à améliorer le fait de notifier les maladies de la faune sauvage à l’OIE telle que le stipulent les codes sanitaires pour les animaux terrestre et pour les animaux aquatiques, ceci afin de satisfaire l’un des objectifs de l’Organisation qui vise à obtenir une transparence totale de la situation mondiale des maladies animales, y compris les zoonoses. Dans ce but, l’atelier était organisé comme suit :
Enfin, signalons la visite de terrain dans la Mokolodi Nature Reserve à quelques kilomètres de la capitale, qui s’est achevée sur un « bush braai ».
L’évaluation du séminaire par les participants fait ressortir l’importance et l’utilité de l’appui que l’OIE fourni aux experts nationaux. La qualité de l’organisation et de l’accueil reçu au Botswana ont permis de rendre le séjour agréable et de permettre aux participants d’être pleinement impliqués dans le séminaire. Enfin, l’excellente interactivité des participants a été particulièrement appréciée par les organisateurs et animateurs du séminaire (centre collaborateur et autres experts)